남자친구
- Genre : Romance, drame
- Année : 2019
- # Épisodes : 16
CHA Soo-hyun (SONG Hye-kyo) dirigeante d’un hôtel en Corée, fille d’un homme politique candidat à l’élection présidentielle et fraîchement divorcée de JUNG Woo-seok (JANG Seung-jo), fils d’une grande entreprise influente, part en voyage d’affaires à Cuba. Elle fait la rencontre d’un jeune homme à l’esprit libre qui capte l’instant avec un vieil appareil photo, KIM Jin-hyeok (PARK Bo-Gum). Malgré leurs différences, ils tombent sous le charme l’un de l’autre. De retour en Corée, KIM Jin-hyeok apprend qu’il est embauché dans l’hôtel que dirige CHA Soo-hyun.
Casting :
CHA Soo-hyun : SONG Hye-kyo (Descendants of the Sun, The Glory, The winter, that wind blows)
KIM Jin-hyeok : PARK Bo-Gum (Record of Youth, Reply 1988)
JUNG Woo-seok : JANG Seung-jo (Snowdrop, The Good Detective, Strangers again)
Eu-Jin : PARK Jin-joo (Her Private Life, It’s okay not be okay, Our Beloved Summer, Hotel Del Luna)
LEE Dae-chan : KIM Joo-hun (It’s okay not to be okay, Dr Romantic, Start Up)
Avis :
@Yuko : Une romance conte de fée qui cache un petite brise de liberté.
Tout commence par une rencontre fortuite entre deux êtres très différents. Soo-hyun est une riche femme désabusée et Jin-hyeok, une jeune homme, sans le sou, insouciant. Dans un pays lointain, aux charmes exotiques, s’ouvre cette romance impossible. Les prises de vue sont magnifiques et mettent en avant les couleurs de Cuba jusqu’au très beau coucher de soleil.
Soo-hyun est très justement interprétée par SONG Hye-kyo. Elle fait passer énormément de fragilité et de force à la fois au travers de son jeu et de son visage. J’adore ces scènes où il l’a prend en photo et où les clichés sont développés devant le spectateur. Son regard y est juste magnifique.. Sinon, la romance est beaucoup trop mièvre à mon goût, comme un conte de fée gentillet. J’avoue avoir un peu de mal avec le visage juvénile et toujours souriant de PARK Bo-Gum / Jin-hyeok. Je trouve que l’ex-mari a une dimension bien plus intéressante et l’interprétation de JANG Seung-jo y est pour beaucoup. Les jeux de pouvoir sont là aussi bien travaillés comme beaucoup de dramas. Ce qui est vraiment bien trouvé, c’est le cheminement de cette femme, emprisonnée dans les convenances, son ambivalence à vouloir en sortir ou y rester et cette force, cette liberté qu’elle trouve vers la toute fin. Je me suis dit enfin, elle se révèle. Un peu comme le long cheminement d’une femme bafouée.